Soirée de lancement de "vivement la guerre, qu'on se tue" de Vincent Courcelle Labrousse

La maison d'éditions Slatkine et Compagnie m'a conviée avec quelques 150 autres personnes, dont mon amie Anita, à la soirée de lancement du roman noir "Vivement la guerre, qu'on se tue" de Vincent Courcelle Labrousse qui a eu lieu dans les beaux salons du restaurant Les noces de Jeannette dans le 9ème arrondissement.

Belle soirée où l'on a pu échanger avec les membres de la maison d'édition et surtout avec l'auteur, d'autant que je suis arrivée tôt. 

Vincent Courcelle Labrousse est avocat au barreau de Paris. Il pratique le contentieux douanier et le contentieux pénal.  Il s'est vu confier des affaires pénales particulièrement difficiles et exposées en France et à l'étranger. Notamment devant le Tribunal pénal international pour le Rwanda à Arusha et le Tribunal Spécial pour le Liban à La Haye.

Il est ancien secrétaire de la Conférence du Stage du barreau de Paris.

Il a co-écrit avec Nicolas Marmié-Maniglier "la Guerre du Rif : Maroc 1921-1926" paru aux éditions Taillandier qui parle de la guérilla menée par un jeune chef berbère Abdelkrim contre les puissances européennes (la France et l'Espagne) qui occupent le Maroc depuis 1912. Cet ouvrage a reçu le prix Lyautey, prix de l'Académie des sciences d'Outre-mer créé en 1934 qui récompense les ouvrages traitant de l'Afrique du Nord, de l'Afrique subsaharienne ou de l'océan Indien.

"Vivement la guerre, qu'on se tue" est un roman noir de la justice française qui se passe en 1977 sous la présidence de Valery Giscard d'Estaing à quelques mois des élections législatives, année durant laquelle Robert Badinter à sauver de la peine capitale le meurtrier d'un enfant , Patrick Henry. Clémen-ce qui révolte les partisans de la guillotine, dont les plus ultra se recrutent chez les magistrats.

Je vous en reparlerai plus quand je l'aurai lu mais il s'annonce passionnant.